Carnaval 2

Catégories : Trio libertin
il y a 5 ans
Pendant la durée du carnaval, en février, à Rio de Janeiro, il y a, d’une part le «carnaval de rue », d’autre part le défilé des écoles de samba. Pour comprendre les orgies sexuelles de la période, il est utile de connaître le déroulement des festivités ; parler de fessestivites ne serait d’ailleurs pas incongru.

Dans toute la ville, dans toutes les rues et dans des bals, à tout moment du jour ou de la nuit, sans que cela soit programmé, des groupes plus ou moins importants, de deux à environ cinquante personnes, la plupart déguisées mais pas toujours, circulent derrière des groupes de percussionnistes, dansent au rythme de la samba, seulement la samba, cela peut durer trois semaines. Pendant la semaine officielle, les écoles de samba défilent sur une avenue fermée à la circulation, le « sambadrome », à quinze kilomètres de Copacabana

De chaque côté de la rue, une palissade en bois haute de trois mètres derrière laquelle des bancs sur des gradins ; d’un côté de l’avenue, places numérotées et quinze policiers à chaque entrée, j’avais réservé pour Christine et moi deux places chaque soir, le droit d’occuper un mètre de banc avec deux paires de fesses ; de l’autre côté, davantage de billets vendus que de places possibles, la matraque des policiers ramène de l’ordre. Le défilé commence vers 21 heures chaque soir, les écoles de samba comptent de 3 000 à 10 000 personnes, danseurs et musiciens, uniquement de samba.

Quelques chars et des danseurs costumés, beaucoup de plumes, de robes somptueuses, de traînes, les tenues allant du nu quasi intégral à la tenue habillée la plus extravagante. Les percussions, surtout des tambours, vous empêchent de réfléchir, vous êtes imprégnés de samba.

Le premier soir, j’y suis allé avec Christine ; le lendemain, elle a préféré aller à la plage retrouver ses maîtres-nageurs, j’y suis donc allé seul. À côté de moi, une belle rousse de 35 ans, toulousaine, voisine d’un homme de 70 ans, pas gâté par la nature. Je me serre contre elle, elle pose la main sur ma cuisse ; je lui pelote la poitrine, elle dégrafe son soutien-gorge ; nous engageons la conversation, m’enquiers : « Tu n’es pas seule, peut-être faudrait-il être plus discrets ». Elle rigole : « Lui c’est Albert, je veux bien qu’il m’accompagne et me baise une fois par semaine, à condition qu’il paie tous les voyages, j’en fais trois ou quatre par an ; et que je puisse baiser comme je veux avec quelqu’un d’autre, qu’il soit présent ou non, et qu’il me paie un très beau bijou à chaque voyage, cette année c’est un gros rubis de la meilleure qualité.

Ce gros porc, il voudrait bien me baiser plus souvent, mais pas question, une fois par semaine, pas davantage, n’est-ce pas, Albert ? » « Oui, Simone » ; elle m’avait sorti tout ça devant lui qui entendait sans protester. Nous sommes restés encore plus d’une heure, admirant le somptueux spectacle, baignant dans la samba et nous excitant, langue à langue, pelotage de sa poitrine à demi-dénudée, mes doigts dans sa chatte et son cul sous la jupe ; la décence carnavalesque le permettait, mais pas question de sortir la bite pour me faire sucer ou branler.

Vers une heure du matin, nous sommes partis en taxi, tous les trois, à leur hôtel. À cette heure-là, les transports en commun sont arrêtés, personne n’a envie de faire quinze kilomètres à pied pour Copacabana ou Ipanema, les taxis demandent un tarif exorbitant, Albert paya sans broncher.

Il s’installa devant la télé du salon de leur suite, sortant une bite chétive qu’il branla doucement devant un film porno. Un bon bain pour décrasser la poussière amassée au sambadrome et le lit en vit de bien belles. Aussi plantureuse que Christine était mince, Simone était vorace ; la chatte gourmande gluante de cyprine au bout de cinq minutes, elle eut une série d’orgasmes à répétition tandis que je me retenais pour faire durer l’érection.

Nous n’avons pas suivi les prescriptions du Kama Soutra, je trouve ça débile, mais avons bien baisé, dessus et dessous, devant et derrière, nous léchant mutuellement l’anus, nous mettant les doigts dans la bouche et dans le cul. Les grosses fesses de Simone apprécièrent quelques claques, son cul avala ma bite ; une heure après nous étions aussi gluants de foutre que pendant ma première soirée.

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